« Je touche mes mains. Je vérifie que tout va bien. Que je ne suis pas complètement mélangé ! La nuit a été longue. Toute la tête haute-perchée sur des lignes de codes. Mon orgueil veut que cela marche ! Je regarde l’écran entre mes paupières à 90 Hz. Dessus, un univers qui se construit. Mon territoire. Mon escape. Comme un rêve éveillé que l’on peut revivre à l’envi. Je suis dedans. Enfin, mon avatar. »

 

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