Dans “Un reel ben beau, ben triste”, de Jeanne-Mance Delisle, nous faisons face au drame de la misère et de l’isolement. Cette difficulté à vivre a provoqué en Abitibi peut-être plus qu’ailleurs, le drame de l’inceste. L’impuissance devant l’oppression et l’ignorance, l’autorité absurde et abusive, la sexualité mal vécue, la révolte de la tendresse, l’incommunicabilité, engendrent la haine et la violence. 

 

Crédit photo : François Ruph, BAnQ Rouyn-Noranda (P227, S14)

 

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